Un enfant de deux ans est assis sur les genoux du passager avant, non attaché : dangereux ? Le flash ne s'est pas déclenché...

Vous roulez sur un grand axe, la circulation est fluide et le soleil brille. Seul bémol, votre compteur affiche +10km/h. Souriez, vous êtes photographiés !

Et si vous avez le malheur de ne pas être à 60 km/h, 300 mètres avant l'entrée du village, le smiley affiche rouge (mais ne photographie pas encore) : danger public que vous êtes !

Alors fixez bien votre compteur en conduisant, vous éviterez que l'on vous tire le portrait : les piétons n'ont qu'à pas traverser n'importe quand.

C'est quand même à se demander si la prudence paye toujours...

Et si, sans aller jusqu'à l'extrême comme c'est le cas hors hexagone, on accordait plus de souplesse à la vitesse pour flasher ce qui mériterait vraiment de l'être ?

On aurait sûrement tous bien plus à y gagner...

"Ce matin, je suis aller en forêt me promené avec mes parent.

J'ai vu des champignon est nous les avons cueilli.

Dans la journée, nous sommes aller aussi a la pissine ou j'ai aimer jouet, surtout quant nous avons fais la course avec mon voisin retrouvés sur place."

Trois phrases, plus de dix fautes. C'est le lot quotidien de nombreux élèves. Sont-ils en primaire ? Non, ils ont déjà franchi les portes du collège, si si...

Alors avec un tel niveau, pourquoi continuer à les tirer vers le haut ? Une réforme de l'orthographe, qui existerait en réalité depuis de nombreuses années déjà, s'imposait !  Pour cette matière, voilà qui est fait. Evidemment, il ne fallait pas en rester là : d'où cette nouvelle idée. La suite ?

Ah médiocrité, quand tu nous tiens...

Petit clin d'oeil à une actu insolite, qui dénonce ce qui doit malheureusement être monnaie courante. Si vous allez du côté de Rueil-Malmaison, vous passerez peut-être devant ce drôle de panneau : les bienvenus ne sont pas toujours ceux que l'on croit ! Avec une note d'humour, ce restaurateur fait passer un message fort : il fallait oser, et c'est tant mieux qu'il l'ait fait !

"Il n' a pas grand chose à voir entre une vache du Limousin élevée dans un pré et une vache du Texas". Ceci est tellement vrai. D'ailleurs, qu'en penserai l’héroïne dans 'le fabuleux destin d'une vache qui ne voulait pas finir en steak haché'?  Elle n'est déjà pas d'accord sur le principe, alors en version américaine vraiment, je crois qu'elle partirait encore plus loin ! Trêve de plaisanterie, il n' y a qu'à voir les conséquences de l'industrie agro-alimentaire américaine, évoquées dans 'fast food nation' ou encore 'food Inc', pour bouder les hamburgers traditionnels, d'autant plus si leurs vaches arrivent bientôt dans nos assiettes. Parce-que franchement, bonjour les dégâts!

Que vous alliez à Paris, New-York, Londres, Toulouse ou encore Rio, ne cherchez plus la petite boutique insolite pour ramener un souvenir original, les cinq enseignes (que vous trouvez chez vous bien sûr)-dont une  avec quelques produits culturels quand-même- présentent les mêmes vitrines.

Pour vous restaurer ? Vous avez l'embarras du choix : pizzas, frites, hamburgers, kebabs... oui oui, il y a ça chez vous aussi ! Ah, il vous reste les musées pour  faire quelques découvertes : nous n' avons pas encore  caché les œuvres, quoique...

Eh bien dans ces conditions, pourquoi donc sortir de chez soi ? Autant tout faire par Internet !

Voici donc les centre-villes de demain : quelques grandes enseignes qui subsisteront, sans aucune originalité, des rues piétonnes presque vides et des gens entre quatre murs, scotchés derrière un écran : rendez-vous dans vingt ans pour voir ?